Au dire de certaines personnes, aveugles, (d'un oeil, n'est ce pas LE PEN !!!) les camps de concentration ont bien existé. non sulement à Auswitch, mais dans bien d'autres camps
Les Allemands de l'époques ont exterminés des milliers d'innocents (Hommes, femmes, enfants, vieillards) fanatiques, racistes, sauvages boureaux.
NON M. LE PEN l
les camps de concentrations ont bien existé. Et il faut que l'on ne l'oublie pas. Pour nos origines, nos enfants et petits enfants. On ne doit pas oublié....JAMAIS......PLUS JAMAIS CA!!!!
Voici le récit pogant d'un déporté
Monsieur François BERTRAND.
Je vous invite à aller sur son site cité au bas de ce récit. Témoignage poignant, que l'on ne peut s'imaginer,
l'effroyable histoire VERIDIQUE qui lui est arrivé, comme à des milliers de gens à cette époque.
Le 7 avril 1945, 5.000 déportés du camp de concentration de Buchenwald, essentiellement du "petit camp", étaient "embarqués" en gare de Weimar dans 50 wagons de marchandises (soit environ 100 par wagon) ; le convoi ferroviaire devait rejoindre le camp de Flossenbürg.
Ce transport qui dura 21 jours atteignit le camp de Dachau (près de Munich) dans l'après-midi du 27 avril 1945 pour une partie, et dans la nuit du 27 au 28 avril pour l'autre partie.
800 déportés encore en vie entrèrent dans le camp, laissant dans les wagons des centaines de cadavres (des photographies de ce convoi rempli de morts parurent dans la presse du monde entier).
500 moururent dans les semaines qui suivirent la libération du camp de Dachau (après-midi du 29 avril 1945).
Ce fut un convoi d'extermination (85 % de décès) ; certainement l'un des plus meurtriers.
L'estimation présente des pertes de ces convois d'évacuation pour l'ensemble des camps entre mars et mai 1945 se monte à 250.000 hommes, dont 200.000 moururent durant ces quelques semaines.
Notre convoi resta six jours, du 18 au 24 avril 1945, sur les voies de garage de la petite gare de Nammering (à 700 mètres d'altitude au pied des monts de Bohème ; à 180 kilomètres au nord de Munich, non loin du Danube et dépendant de la commune d'Aïcha Vorm Wald). Ce convoi était composé de wagons ouverts et fermés et de wagons métalliques découverts (mon wagon appartenait au matériel ferroviaire français pour le transport de charbon...). La nourriture et la boisson furent pratiquement inexistantes. A Nammering il pleuvait (cinq centimètres d'eau dans les wagons découverts) et il neigeait...
Les réactions des gardes SS (deux, à l'intérieur de mon wagon) étaient brutales ; ils sentaient confusément que la fin de la guerre approchait (les armées alliées de l'ouest et de l'est allaient très bientôt se rejoindre).
Meurtres par les gardes, tueries entre détenus, morts par inanition et (ou) suffocation... Le réel problème était l'abandon des cadavres. Plusieurs centaines furent sommairement enfouies dans les champs près de la voie ferrée, avant d'arriver à Pilsen. A Nammering, nous laissâmes les dépouilles de 794 de nos camarades (270 corps brûlés et 524 autres cadavres).
Les rescapés arrivés, par miracle, à Dachau furent tout de suite après la Libération remarquablement soignés par la "Mission Vaticane" et les services de santé de l'Armée américaine (et ce grâce à des médecins militaires spécialisés dans la lutte contre le typhus exhantématique).
Avant le retour en France la plupart furent emmenés en convalescence sur les bords du lac de Constance, grâce à la Première Armée Française.
François Bertrand
Déporté Buchenwald matricule 139865
Septembre 2001
http://www.convois45.org/corps.htmQu'en pensez vous ????
Laissez moi vos réactions, vos sentiments sur ce sujet[/b]